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Argument Argumentation Causalité Cause Conjecture Conscient • Corrélation Déduction Démarche Démonstration Déterminisme Efficace Efficient Émotion • Empirique Équivoque Expérience Expérimentation Fait Hasard Humeur • Hypothèse Interprétation Instinct • Intuition • Logique Loi Mental • Méthode Paradigme Pataphysique Pensée • Phénomènes Preuve Principe de Problématique Protocole Psychologique Rationnel Réductionnisme Réfutation Ressenti • Science • Scientifique Sentiment • Subconscient • Tempérament • Théorie Validité Vérité • |
«« Cliquez sur un mot pour obtenir sa définition. Argument :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » 1. Raisonnement destiné à prouver ou à réfuter une proposition.
Argumentation :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » 1. Démarche exposant une suite d’arguments.
Causalité :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Principe explicatif suivant lequel tout a une cause et, dans les mêmes conditions, la même cause est suivie des mêmes effets (conséquences). Cause :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Évènement antécédent, action qui produit un effet, une conséquence. La recherche des causes des phénomènes naturels est à la base des recherches en sciences expérimentales. Conjecture :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Supposition, hypothèse, prédication reposant sur des généralisations hâtives qui n’ont pu être étayées par un nombre suffisant d’expériences. En science, une conjecture est une hypothèse n’ayant qu’une certaine probabilité d’être exacte. Le Conscient Ce que l’on sait sans y penser. Tâches de fond que le moindre stimulus peut remettre en pensée. « La conscience est une pensée qui dort » Y. Lhotellier 2010 Exemple : avoir conscience que l’on porte des vêtements. Corrélation :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Mesure de l’interdépendance entre deux variables. La corrélation évalue la tendance d’une mesure à varier de concert avec une autre sans que l’une agisse directement ou indirectement sur l’autre. La corrélation est positive quand les mesures des deux variables augmentent ou diminuent ensemble, la corrélation est négative quand une mesure augmente alors que l’autre diminue, et la corrélation est nulle quand l’une augmente ou diminue alors que l’autre ne change pas. Une corrélation n'implique pas toujours une relation de cause à effet, cependant, elle doit inviter le scientifique à rechercher une éventuelle cause à cette corrélation en sachant que cette corrélation est peut-être non-causale. L’hypothèse selon laquelle l’existence d’une corrélation équivaut à la mise en évidence d’une cause est une des deux ou trois erreurs les plus graves du raisonnement humain (d’après Stephen-Jay Gould qui était notamment professeur d'histoire des sciences à l'université Harvard). Déduction :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Conséquence tirée d’un raisonnement qui dépend des propositions choisies au départ. La déduction part de faits généraux (lois) et va vers les cas particuliers. La déduction s’oppose souvent à l’induction qui remonte des faits (observations) à la loi. Démarche explicative :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Processus intellectuel qui amène à l’explication d’un phénomène. La démarche explicative comprend plusieurs étapes :
L’explication causale ne peut être valide que si le résultat obtenu peut être provoqué par la variation d’un paramètre significatif parfaitement contrôlé. Démonstration :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Démarche intellectuelle visant à établir une vérité qui n’est pas immédiatement évidente. La démonstration est un raisonnement déductif qui s’appuie sur des propositions dont la vérité a déjà été démontrée. Déterminisme :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Principe suivant lequel tout événement est engendré par une cause et, dans les mêmes conditions, les mêmes causes provoquent les mêmes effets (conséquences). Efficace :
Selon « Dictionnaire historique de la langue française » Désigne ce « qui produit l’effet attendu », « dont les actes atteignent leur but ». Son contraire est inefficace pour « sans effet utile ». Efficient :
Selon « Dictionnaire historique de la langue française » Désigne ce « qui produit un effet ». Son contraire est inefficient qui signifie « sans effet ». Émotion (version courte) L’émotion, comprise au sens large, désigne une sensation agréable ou désagréable considérée du point de vu affectif dans le cadre d’une interaction avec l’environnement. Ce terme regroupe plusieurs sensations émotivantes : le ressenti, le sentiment, l’émotion (au sens strict), le reflexe émotionnel universel, l’humeur, et le comportement émotionnel irrationnel.
Exemples en rapport avec les instincts : joie, peur, tristesse, colère, dégoût, surprise, désir. Exemples en rapport avec le Mental : plénitude, tracas, agacement, angoisse, abattement, agression. Émotion (version longue) Au sens large / Émotivation : On utilise couramment le mot « émotion » pour désigner l’ensemble de ce qui s'y apparente, notamment à propos d’une sensation agréable ou désagréable considérée du point de vu affectif, et toujours dans un cadre d’interaction entre nous-même et notre environnement. En ce sens l’imprécision est de rigueur, et les mots se mêlent : on peut dire par exemple ressentir une émotion pour parler d’un sentiment ; il aurait même été possible d’intégrer d'autres notion comme le pressentiment.
Les sensations émotivantes (c-à-d. les émotions en sens large) comprennent :
Émotion au sens strict : C’est-à-dire à différencier du ressenti, du sentiment, de l’humeur, etc... L’émotion serait une variation épisodique brève de composantes de l’organisme résultante du lien entre, d’une part, le ressenti et, d’autre part, le Mental ou les instincts. C’est-à-dire que l’émotion créé en urgence une valeur ajoutée à des évènements personnellement importants. • Soit l’émotion est en rapport avec un stimulus réel, perçu comme tel ou imaginé qui touche nos instincts : alors l’émotion est une réponse, relativement universelle, à l’interprétation des faits.
Exemples : joie, peur, tristesse, colère, dégoût, surprise, désir. • Soit le stimulus réel, perçu comme tel ou imaginé, est en lien avec notre tempérament ou la logique de notre subconscient : alors l’émotion est une réponse, universelle, à la concordance entre l’interprétation des faits et cette logique ou tempérament.
Exemples : plénitude, tracas, agacement, angoisse, abattement, agression. NB : L’émotion est la plus efficiente des sensations émotivantes, elle peut modifier un ressenti, contrarier un sentiment, faire occulter une perception, favoriser une tâche cognitive, amplifier un stress, et bien d’autres choses.
Selon « Dictionnaire historique de la langue française » n. f. a été dérivé (av. 1475) d’émouvoir, d’après l’ancien et moyen français motion « mouvement » (v. 1223), emprunté au latin motio « mouvement » et « trouble, frisson (de fièvre) », lui-même dérivé de movere (voir motion). D’abord usité avec le sens de « trouble moral », émotion s’emploie ensuite au sens de « mouvement », d’où spécialement (1512) celui de « trouble, sédition », valeur courante à l’époque classique, en particulier pour désigner un commencement de sédition (1690, Furetière) ; à l’époque classique, le mot s’est dit d’un état de malaise physique (1580) et du trouble suscité par l’amour (1645). Émotion ne s’emploie plus aujourd’hui que pour désigner une sensation, agréable ou désagréable, considérée du point de vu affectif (1641).
Le dérivé émotionner v. tr. (1823) se dit familièrement pour « toucher par une émotion », surtout au pronominal. Le verbe peut être antérieur, car l’adjectif émotionné, ée est attesté en Normandie dès le XIVè s. (1350, Du Pineau). En dérivent émotionnable adj. (1870), d’emploi rare, et émotionnant, ante adj. (1890), d’emploi familier. Le verbe, comme ses dérivés, a été condamné dès la fin du XIXè s. par les puristes qui y voient un doublet inutile d’émouvoir. Émotionnel, elle adj. (1870, Taine ; suffixe –el), « relatif à l’émotion », est un terme de psychologie. Selon « Traité de psychologie des émotions » Après avoir passé en revue la théorie de James-Lange issue de la question de Carl Lange :
David Sander et Klaus Rainer Scherer suggèrent d’utiliser le terme « émotion » pour désigner un ensemble de variations épisodiques dans plusieurs composantes de l’organisme en réponse à des évènements évalués comme importants par l’organisme. Au lieu d’utiliser le terme d’« état émotionnel », celui d’« épisode émotionnel » est plus approprié car il souligne le fait que l’émotion est un processus dynamique d’une durée relativement brève. [...] En effet, une caractéristique importante de l’émotion est qu’elle se réfère toujours à un objet qui la déclenche. [...] Une manière de souligner la caractéristique particulière de l’émotion en tant que réponse urgente à une situation de crise (dans le sens positif comme dans le sens négatif) est de postuler que les différentes composantes psychologiques et physiologiques interagissent de manière très particulière durant l’épisode émotionnel. Scherer (1984-2001) a suggéré que les sous-systèmes d’un organisme, qui fonctionnent de manière indépendante et autonome d’habitude, deviennent synchronisés ou couplés pendant le processus émotionnel afin de permettre à l’organisme de faire face à la situation d’urgence créée par l’évènement provoquant une émotion. Empirique :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » 1. Qualifie ce qui utilise l’expérience, l’observation sans avoir recours à un raisonnement.
Équivoque :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Qui peut s’interpréter ou s’expliquer de plusieurs manières et de ce fait n’est pas clair.
Expérience cruciale :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Expérience qui permet de trancher entre deux hypothèses rivales H1 et H2 qui s’appliquent au même objet et qui ont été testées expérimentalement avec le même succès, de sorte que les éléments que l’on possède ne permettent pas de trancher en faveur de l’une ou de l’autre. On peut choisir entre ces deux hypothèses si l’on parvient à mettre au point une expérience particulière qui donne, d’après H1 et H2, des résultats opposés et mutuellement exclusifs. Expérimentation :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Procédé général de la méthode scientifique selon lequel l’expérimentateur décrit avec un nombre suffisant de variables à propos d’une question particulière et soumet celles-ci à un traitement contrôlé. Ce dernier consiste à faire varier une seule des variables (variable unique) tout en maintenant les autres constantes (témoin). De cette façon, les diverses variables jouent successivement le rôle de variables indépendantes, les effets de celles-ci sur une autre variable, dite dépendante, permettant de déterminer les facteurs considérés comme causes agissant sur cette dernière./p> Fait scientifique :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Évènement, objet ou résultat provenant de l’observation et que l’on considère comme indiscutable. Hasard :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Cause fictive, c’est-à-dire qui n’existe qu’en apparence, que l’on rend responsable d’évènements qui se produisent sans raison apparente ou explicable. Humeur État relativement momentané qui ne constitue pas un trait de caractère et qui privilégie certains ressentis, certaines actions ou émotions plutôt que d’autres. Exemples : joyeuse, enthousiaste, massacrante, etc... Hypothèse :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Énoncé anticipant sur la nature des relations entre deux ou plusieurs phénomènes. L’hypothèse est une explication provisoire qui doit être testée par l’expérimentation. Interprétation :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Explication destinée à donner à un phénomène une signification exacte (pour l’intégrer dans un contexte plus général), à donner une signification claire à quelque chose d’obscur. Instincts Fondement universel qui peut être perturbé par le phénomène de déprime.
Intuition Mise en pensée insuffisante (à propos d’un concept, pour un individu, inadapté à sa cognition ou totalement nouveau) ou stoppée par une émotivation. L’intuition, en fonction de la valeur qui lui est accordé, peut être suivie ou mise à l’épreuve d’un raisonnement ; ce jugement personnel est néanmoins fortement altéré lorsque l’intuition déclenche une émotion ou entre en interaction avec un sentiment. Logique [Patienter jusqu'à la parution de l'éditorial du volume 2 du magasine.] Selon « Dictionnaire historique de la langue française » n. f. a été emprunté (v. 1245) au latin logica « science des lois du raisonnement », lui-même emprunté au grec logikê (sous-entendu tekhnê), substantivation du féminin de l’adjectif logikos « qui concerne la raison » également « qui concerne la parole ». Logos, forme de type ancien et de très grande importance, signifie « propos, paroles » et, en ionien-attique, « récit, compte, explication, considération, raisonnement, raison » ainsi que « parole ». Il a fini par désigner la raison immanente et, dans la théologie catholique, la seconde personne de la Trinité, ou Dieu. Il est dérivé de Legein « rassembler, cueillir, choisir » d’où « dire » et « compter, dénombrer » qui correspond au latin legere, de la même racine indoeuropéenne, et qui a donné le verbe lire. Nom : Logique, « science des lois du raisonnement », est employé par métonymie à propos d’un traité de cette discipline (1290) et s’applique également à l’analyse philosophique des lois et formes de la pensée.
Cependant, la notion de logique avait évolué à partir de la science moderne et du développement des mathématiques (XVIIè s.). Après La Logique ou l’art de penser de Arnauld et Nicole (dite Logique de Port-Royal), c’est essentiellement l’œuvre de Leibniz (en partie écrite en français) et celle de Lambert (en allemand) qui préparent le développement d’une nouvelle logique. Celle-ci nommée logique mathématique, parfois et vaguement logique moderne, ou encore logique formelle, dépend des travaux de Boole (inventeur de la logique binaire), Frege, puis au tournant du XXè s, de Russell et Whitehead. Cette logique a été récemment (v 1970) rebaptisée logique classique, par opposition à des formes plus récentes ou dont l’objet est plus large (logiques d’ordre supérieur), mais logique classique, ambigu, s’emploie plus souvent en comparaison avec logiques modernes. Tous ces syntagmes, comme logique des propositions, logique propositionnelle, logique des prédicats, ne sont attestés qu’au XXè s. et sont didactiques.
Logique a aussi pris (1762) la valeur d’« enchaînement cohérent d’idées » et de « raisonnement juste ». Depuis la même époque, le mot concerne aussi, par métonymie, une suite cohérente et régulière d’actes, d’évènements. Récemment, cet emploi s’est rendu généralisé pour désigner un type de régularité, d’enchaînement de faits attribué à certaines situations (la logique de la crise, de la paix, une logique de crise, etc.). L’emploie technique du mot s’est naturellement intégré au vocabulaire de l’informatique, pour une suite d’opérations destinées à obtenir un résultat, d’où logiciel (voir dictionnaire). Adjectif : L’adjectif logique est emprunté (1536) au latin logicus « logique, raisonnable », lui-même repris à l’adjectif grec logikos « qui concerne le raisonnement ».
La philosophie l’utilise au sens de « qui se rapporte à la raison » (1867), comblant ainsi l’absence d’un adjectif correspondant à entendement. Plus largement, logique qualifie ce qui se rapporte non seulement à l’entendement mais à l’intelligence (intelligent étant ambigu). Il est employé en grammaire dans l’analyse logique (1867) ; au XXè s, il est entré dans le vocabulaire de l’informatique (circuits logiques). Selon chapitre 2.1.1 de la thèse « Pour une didactique de l’esprit critique ». Remport d’adhésion : Richard Monvoisin parle de "remport d’adhésion" pour qualifier une croyance produite par une démarche d’énonciation de vérité susceptible d’être infléchie par le raisonnement ou l’expérience. « Nous appelons remport d’adhésion le mécanisme complexe et multifactoriel qui amène un individu à penser que son adhésion à une thèse, une hypothèse ou à une théorie est mue par une chaîne de raisonnements rationnels étayés par des faits, ce à tort ou à raison. - Lorsque c’est à tort, c'est-à-dire que cette adhésion est de type simili-rationnelle, remportée sur des critères non suffisants ou sur la base d’une forte appétence ou d’un engagement (au sens psychologique) pour ladite thèse ou théorie, nous parlerons d’adhésion pseudoscientifique.
La langue française ne permet pas de faire la distinction entre la croyance comme acte de foi (présente dans les religions mais pas seulement) et la croyance de type adhésion (remport d’adhésion vu précédemment). R. Monvoisin, 2005
Loi :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Formulation générale ne soufrant aucune exception énonçant une corrélation entre des phénomènes naturels et vérifiée par l’expérience. Une loi n’est pas une explication, mais elle permet de prédire avec exactitude l’évolution d’un système dans lequel la loi en question s’applique. Le Mental Construction individuelle non palpable et aboutissant aux manifestations de la personnalité. Par analogie à une classification en 3 couches de la plus malléable à la plus immuable : le mental serait constitué de la pensée et de la conscience, soumises au subconscient, lui-même soumis au tempérament. Méthode expérimentale :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Raisonnement conduisant à l’explication d’un phénomène naturel. La méthode expérimentale est une démarche explicative qui se décompose en cinq étapes.
Observation »»» hypothèse »»» expérimentation (l'observation étant la description précise et rigoureuse sans volonté de modifier ou interpréter) Paradigme :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Théorie qui domine dans une communauté scientifique, durant une certaine période, à une certaine étape du développement historique d’une science. Un paradigme est la plupart du temps un type d’explication qui est unanimement accepté tant qu’il paraît logique* ou empiriquement satisfaisant. * Voir aussi éditorial du Volume 2 du magazine. Pataphysique :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Nom féminin désignant « la science des solutions imaginaires, qui accorde symboliquement aux linéaments les propriétés des objets décrits par leur virtualité ». Le mot s’emploie aussi comme adjectif pour ce qui est « relatif à des connaissances bizarres, abstraites et extravagantes ». Par extension, le champ pataphysique désigne l’emprunt d’un vocabulaire spécifique aux sciences physiques par un autre domaine, généralement ésotérique. Pensée Articulation de Logos et Logikê issue de la fusion entre vécu et organisation interne du Mental, grâce à la contribution de la cognition et participant à l’évolution de cette même cognition. Phénomènes :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Tout ce qui apparaît à la conscience que ce soit par l’intermédiaire des organes sensoriels ou par l’intermédiaire d’une représentation cérébrale. Preuve :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Processus intellectuel par lequel notre esprit reconnaît d’une manière convaincante et indubitable la vérité d’une proposition. La preuve s’applique donc à un raisonnement mais aussi à un fait, à un objet. Principe de parcimonie :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Dans les sciences expérimentales, le principe de parcimonie stipule que si deux explications équivalentes du même phénomène sont en présence, la plus simple doit être préférée. L’explication la plus simple est celle qui fait appel au moins d’hypothèses. Par la suite, l’explication la plus simple peut se révéler fausse. Problématique :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Dans une science, un problème est une question à résoudre qui prête à discussion. La problématique consiste à poser les différents problèmes qui sont liés à un même sujet. Protocole expérimental :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Écrit préparatoire destiné à fixer la démarche à suivre pour éprouver une hypothèse. Les schémas expérimentaux fixent les dispositions à respecter pour la manipulation des variables en jeu garantissant la validité interne de l’expérience. Émotionnel et Psychologique Est qualifié d’émotionnel ce qui tient du rapport avec le monde extérieur, et est qualifié de psychologique ce qui tient du rapport avec soi-même. Une manifestation émotionnelle ou psychologique peut être consciente, inconsciente, occultée ou niée. Exemple : une peur, par exemple, peut être psychologique si elle répond à la question « pourquoi as-tu peur ? » ou émotionnelle si elle répond à « de quoi as-tu peur ? » Rationnel :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Qui s’appuie sur un enchaînement de propositions déductifs ou inductifs (raisonnement) et ne contient aucun élément empirique. Réductionnisme :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Toute théorie ou approche qui cherche à donner une explication à un phénomène complexe en le ramenant, par l’analyse, à ses éléments les plus simples. Suivant cette attitude, l’étude de la vie se ramènerait le plus souvent à l’étude des composants d’un être vivant (atomes, ions, molécules) auxquels s’appliquent intégralement les lois de la physique et de la chimie. Le réductionnisme suppose que le tout est la somme de ses parties et qu’il n’émerge pas de propriétés nouvelles de la réunion des éléments simples. Nota Bene entendu à la radio D’après le Pr. Robert Barouki, une étude centrée sur des substances isolées n’engendre pas la même conclusion qu’une étude élargie au mécanisme commun de ces mêmes substances réunies (chimie systémique). Réfutation :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Action de rejeter un raisonnement en prouvant sa fausseté. Selon Karl Popper, toute théorie doit être susceptible d’être réfutée pour être considérée comme scientifique. Ressenti Ne pas confondre avec le verbe ressentir, plus largement sentir, qui évoque la mise en pensée de n’importe quelle sensation de l’instant, y compris physique, y compris d’un ressenti. Le ressenti, donc comme élément d’entrée par le biais des organes des sens (proprioception, douleur, vue, toucher, ouïe, etc...), est le premier élément de jugement de notre environnement, amenant la possibilité de rediriger le Mental vers soi. Ce peut être un ressenti nouveau, propre à générer le choix d'une action, incrémenter un sentiment ou engender une émotion ; comme il peut s’agir d’un ressenti déjà connu, propre à rappeler une action, un sentiment et/ou une émotion gardés en mémoire. Dans tous les cas, il participe à la construction de notre Mental en mettant le tempérament en lien avec le vécu.
Par exemple une perception de température de l’air de 283 Kelvin peut amener un ressenti de froid, de chaud ou de normalité selon que nous soyons équatorien, sibérien ou cherbourgeois-octevillais. En revanche pour un équatorien, ce ressenti de froid inhabituel pourrait entrainer une émotion de peur ou de tracas, a fortiori s’il a un sentiment négatif vis-à-vis de la gestion climatique de l’humanité, et plus probablement encore s’il est présentement d’humeur inquiète. Il ne peut pas y avoir d’émotion sans ressenti, et une émotion peut altérer un ressenti. Exemple : tout peut être exemple de ressenti. On connait très bien notamment la dualité agréable / désagréable.
Extrait choisi du « Dictionnaire historique de la langue française » à propos du verbe RESSENTIR Ressentir signifie aujourd'hui « éprouver les conséquences d'un événement » (1557) qu'elles soient avantageuses (1564) ou pénibles (1669). [...]
Science Outil intellectuel inventé par l’Homme afin de vérifier ou valider les logiques supposées mener aux vérités. L’application concrète de cet outil a donné naissance à la méthode expérimentale qui tend à s’affranchir des défauts de la logique humaine pour expliquer la réalité sans vérité absolue. Selon chapitre 1.2.1 de la thèse « Pour une didactique de l’esprit critique ». Le mot « science » peut désigner :
Paraphrasant un exercice de Lecointre (ouv .cité, p. 32), le rejet croissant de la science par le public et le succès de certaines mouvances spiritualistes viennent d’une confusion entre ces cinq définitions. À titre d’exemple, la science comme démarche rationnelle d’investigation du monde (sens 1) sera rejetée parce que le clonage fait peur (sens 3), parce que le club nucléocrate prend toutes ses décisions en bafouant la démocratie (sens 5), parce que des bombes atomiques ont explosé (sens 3), parce que des querelles de pouvoir s’exercent lors des congrès scientifiques (sens 4) ou encore parce qu’un résultat que l’on tenait pour certain s’avère faux (sens 2). Selon « Dictionnaire historique de la langue française » n. f. est emprunté (1080, Chanson de Roland) au latin classique scientia « connaissance », spécialement « connaissance scientifique », qui prend dès l’époque classique le sens du grec epistêmê « savoir théorique », aussi employé en philosophie (voir épistémologie). Scientia dérive de sciens, scientis « qui sait », « instruit », « habile » et substantivement « connaisseur », participe présent de scire « savoir », parfois employé à l’époque impériale pour « décider, décréter », par confusion avec siscere, inchoatif de scire. Scire a peut-être eu à l’origine le sens de « trancher » puis « décider » ; il n’a pas de correspondant dans les autres langues indoeuropéennes. Le français reprend les deux valeurs générales du latin, « connaissance » au sens courant, prédominante à partir du XIIè s, et « savoir théorique », qui s’impose au XVIIIè siècle. Science désigne d’abord le savoir-faire que donnent des connaissances jointes à l’habilité puis (v. 1119, la science) les connaissances étendues que l’on a acquises sur un objet d’étude (Cf. savoir). Le mot, avant le XIVè s, concerne la connaissance, notamment un savoir pratique (notion proche d’art « technique ») au service de la religion. D’ailleurs, le mot s’emploie en religion (v. 1120) à propos de la connaissance profonde de Dieu et des créatures, d’où l’esprit de science « l’esprit de Dieu, en tant qu’il donne la science à l’homme » (1553), et aussi de la connaissance transcendante que Dieu a des êtres et des choses (v. 1165).
Depuis le XIIIè s, avec une valeur proche du sens moderne, science désigne (v. 1265) un ensemble de connaissances ayant un objet déterminé et une méthode propre et les sciences (XIIIè s.) l’ensemble des disciplines qui forment le savoir théorique. Cette valeur se précise au XVIè s. où apparaît le mot scientifique et des syntagmes comme sciences mathématiques (Oresme). Avec sa valeur plus générale, le mot s’emploie dans les locutions avoir science aperte [ouverte] de... « savoir de façon sûre » (1270), puis de certaine science (1291) devenu au XVIIè s. de science (v. 1650), et (savoir) de science certaine (v. 1660), toujours en usage.
Concernant l’évolution des connaissances et le savoir réglé, l’emploi du même terme peut masquer des évolutions considérables. À la « science » médiévale servante de la foi, cumulative, rhétorique, fondée en révélation et en sources d’autorité (par ex. Aristote, surtout à partir du XIVè s.), succède la « science » de la Renaissance. À cette époque, deux types de savoir se disputent la prééminence : le droit, émanation de la pensée divine et réglage de la vie humaine, et le mathématiques, qui manifestent elles aussi l’ordre du monde. Les penseurs les plus modernes comprennent alors, avec Léonard de Vinci, que la science doit être fondée sur le raisonnement formel (mathématiques) et sur l’observation et l’expérience contrôlée. C’est aussi à cette époque que les effets de la science sont confrontés à une morale (science sans conscience..., Rabelais).
À partir du XVIè ou au début du XVIIè s, science s’est dit (1608, d’Urfé) de toute connaissance organisée et éprouvée et entre dans des syntagmes qui en précisent la valeur, courante ou théorique : les sciences libérales « les arts libéraux » (déb. XVIIè s.), les sciences spéculatives « connaissances qui reposent sur le pur raisonnement » (1670), les sciences naturelles (1674) concernant les règnes de la nature. Sciences humaines désigne d’abord (1644) l’ensemble « langue, grammaire, poésie, rhétorique », opposé aux XVIIè et XVIIIè s. à hautes sciences (1718) « théologie, philosophie, mathématiques », ou bien s’oppose à sciences divines (XVIIIè-XIXè s.). Sciences curieuses « l’astrologie et l’alchimie » a disparu, mais sciences occultes « relative aux phénomènes irrationnels de l’existence psychique », enregistré aussi en 1690, s’emploie encore. Depuis le début du XVIIIè s, la science se dit de la connaissance exacte, universelle et vérifiable exprimée par des lois ; avec cette valeur, scientifique semble un peu moins antérieur. Le mot, de plus en plus employé avec cette valeur, conserve néanmoins dans des expressions le sens le plus large de « connaissance précise », par exemple dans science philosophique, divine (1721) ou sciences morales (v. 1750). À la même époque, le mot désigne une branche de la connaissance dans sciences économiques (1760), science politique (1772). Les sciences, sans qualification (1765), s’emploie pour les sciences où le calcul et l’observation ont une grande part, c’est-à-dire les sciences exactes (1751) « les mathématiques et les sciences qui se fondent sur elles » et les sciences expérimentales (attesté 1787), ainsi que les sciences d’observation ou sciences de la nature. À partir de cette valeur apparaît l’opposition (1835) entre les sciences et les lettres. Au XIXè s. sont attestées plusieurs expressions qui témoignent d’une précision accrue dans la définition du concept : sciences positives « déductives ou susceptibles d’être contrôlées expérimentalement » (v. 1860), sciences physiques (1868), science pure opposée à sciences appliquées (1873). Au XXè s, sciences humaines prend un sens nouveau, proche de sciences sociales qui semble un calque de l’anglais social sciences, et correspond à « science dont l’objet est l’Homme en société ».
Sciences a désigné (1902) une section de l’enseignement (secondaire, supérieur) où l’on enseigne les sciences. Scientifique :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Qui satisfait aux exigences d’objectivité, de précision, de rigueur et de méthode des sciences. Sentiment État durable résultant du cumul de ressentis au court du temps à propos de l’objet qui les a déclenchés. Le sentiment peut modifier les ressentis futurs liés à l’objet du sentiment (par exemple bien prendre ou mal prendre une remarque) ou entrainer une humeur temporaire suite à la mobilisation du sentiment. La maturation d’un sentiment ne dépend ni de sa concordance avec les faits, ni de notre lucidité à propos de cette concordance. Exemples :
Extrait choisi du « Dictionnaire historique de la langue française » Dès l'ancien français, le mot désigne (1279) un état qui relève de l'affectivité et, spécialement, une tendance affective stable et durable, d'où l'emploi également courrant (XIIIe s.) à propos de l'inclination d'une personne pour une autre, qu'il s'agisse d'amour ou d'amitié. Le Subconscient Processus Mental de notre fonctionnement interne presqu’inatteignable, et donc sur lequel nous avons peu d’effet. Il est le siège des convictions et des associations logiques qui résultent de la confrontation entre notre tempérament et le vécu par le biais des ressentis. Exemples :
Tempérament Base immuable de notre fonctionnement interne, telle une carte imprimée. Le tempérament semble posséder des propriétés qui le place à l’union du Mental et de l’Organique. Exemples :
Théorie :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Ensemble de règles, de lois systématiquement organisées servant de base à une science et qui donnent l’explication du plus grand nombre de faits possibles. Validité interne :
Selon « Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre » Condition nécessaire pour que les résultats d’une expérience aient un sens, c’est-à-dire si les effets mesurés sont réellement attribuables aux variables indépendantes envisagées. Vérité Sens 1 Sens 2 Sens 3 Autres sens Selon « Dictionnaire historique de la langue française » n. f. est une forme empruntée (fin Xe s, veritiet) au latin veritas, -atis, « le vrai, la vérité », « la réalité », « les règles, la droiture », dérivé, comme veridicere (véridique), verificare (vérifier), de l'adjectif versus (vrai).
Le mot désigne, d'abord en religion, une opinion conforme au réel (fin Xe s.), opposé à erreur, puis en général (v. 1200) la conformité de l'idée avec son objet, d'un récit avec un fait, et de ce qu'on dit avec ce qu'on pense, alors opposé à mensonge.
Une vérité désigne ensuite (XVIes.) une chose vraies que l'on dit, d'où la locution dire à qqn ses vérités (1549), puis ses quatre vérités (1858), où quatre a une valeur intensive.
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Glossaire : n. m. représente une réfection (1666) de glosaire (1585), emprunt au latin impérial glossarium « dictionnaire où l'on explique les mots rares ou vieillis », dérivé de glossa.
Glossaire a conservé le sens latin et se dit spécialement (1835) du lexique d'un dialecte, d'un patois, puis d'un domaine spécialisé, avec une idée d'explication sommaire ou rapide et de sélection omettant les mots de la langue courante, usuelle, ce qui le distingue de vocabulaire et dictionnaire.
Bibliographie du glossaire :
REY Alain, TOMI Marianne, HORDÉ Tristan & TANET Chantal. Dictionnaire historique de la langue française. Paris : Le Robert, 2016. ISBN 978 2 32100 726 5, première édition en 1993.
• Résumé : « Derrière les dixaines de milliers d'histoires que content les mots du français, derrière la variété des usages de cette langue dans les cinq continents, ce dictionnaire dévoile l'unité profonde d'une manière de penser, d'une vision du monde » (Alain Rey).
www.lerobert.com/
BREUIL Michel. Dictionnaire des sciences de la Vie et de la Terre. Paris : Nathan, 2010. ISBN 978 2 09 188269 7, première édition en 1997.
• Résumé : « Lexique et mini-encyclopédie, ce dictionnaire analytique de plus de 4500 entrées couvre l'ensemble des programmes de lycée en Sciences de la Vie et de la Terre. Clair et maniable, il propose des développements concis et rigoureux. Dans chaqe article, les "mots-clés" en caractères gras renvoient à d'autres entrées du dictionnaire, et en fin d'article, une liste de renvois complémentaires est fréquemment proposée. Un ensemble de 83 figures commentées complète et précise les définitions. En fin d'ouvrage, un lexique méthodologique rappel quelques notions de la démarche scientifique. Un code matières permet d'identifier les domaines concernés par un terme. Utile et précieux aux lycéens mais aussi aux étudiants, ce dictionnaire s'adresse également à tous ceux qui se destinent à l'enseignement ou quicinque s'intéresse aux vastes domaines de la Biologie et de la Géologie. » (Michel Breuil).
https://enseignants.nathan.fr/
MONVOISIN Richard. Pour une didactique de l’esprit critique : Zététique & utilisation des interstices pseudoscientifiques dans les médias. Grenoble : Université Joseph Fourier, 2007. En vue de l'obtention du titre de Docteur en didactique des disciplines scientifiques.
• Résumé : « Cette thèse s’appuie sur le constat déjà connu que les capacités critiques mobilisables par un individu pour distinguer entre science et pseudoscience ne sont pas corrélées à son niveau d’études. L’hypothèse défendue est que le rôle joué par les médias dans la transformation et la scénarisation des savoirs est autant un rôle de fabrication de la culture scientifique moyenne qu’un rôle de marqueur des ambiguïtés les plus courantes sur la question de la démarche scientifique. Partant de la notion d’interstice pseudoscientifique dans la transposition des savoirs, la démarche zététique a été grandement mise à contribution pour élaborer une panoplie d’outils exploitables auprès d’étudiants sur la base des supports médiatiques les plus accessibles.
S’il a été question dans la première partie de prendre les précautions philosophiques et épistémologiques incontournables de la démarche scientifique — matérialisme, rationalisme et scepticisme notamment — et de les rendre enseignables, la deuxième partie a approfondi les spécificités des champs dits pseudoscientifiques et ‘paranormaux’ qui fournissent aussi bien des mises en scène fantasmatiques courantes de la connaissance que, poussées à leur extrême, de tragiques aliénations.
La troisième partie s’est essayé à donner quelques éléments de compréhension des enjeux de la vulgarisation scientifique dans un contexte médiatique marchand, avec la description de quelques-unes des contraintes médiatiques s’exerçant sur le savoir savant qui vont jusqu’à parfois dénaturer ce dernier. Enfin la quatrième partie, prenant pour base les supports de vulgarisation les plus communs, dresse une sémiologie d’outils spécifiques pour prévenir les interstices pseudoscientifiques, qu’ils prennent des formes lexicales, rhétoriques, argumentatives ou scénaristiques.
Ces outils ont la spécificité, outre d’être des objets conceptuels zététiques, d’avoir été enseignés et remaniés in situ, durant quatre années d’enseignements à l’esprit critique dans l’enceinte de l’Université Joseph Fourier, Grenoble 1, sur les trois cycles universitaires de plusieurs filières. Ils fournissent une gamme de séquences didactiques exploitables facilement pour tout enseignant percevant tant la nécessité scientifique que sanitaire et « citoyenne » d’élaborer chez les étudiants des modes d’autodéfense intellectuelle vis-à-vis des sollicitations pseudoscientifiques, pseudomédicales et spiritualistes qui ne manqueront pas de leur échoir. » (Richard Monvoisin).
www.unice.fr/
SANDER David & SCHERER Klaus Rainer. Traité de psychologie des émotions. Dunod, 2019, ISBN 978 2 10079 327 3.
• Résumé : « Les émotions sont un domaine carrefour qui concerne non seulement les 3 grands champs de la psychologie : cognitive, sociale et clinique, mais aussi celui de la psychologie de la santé. Cet ouvrage, dirigé par deux ténors européens de la discipline, se veut un état des lieux du savoir et une synthèse des théories les plus récentes dans ce champ ».
www.dunod.com/
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